Autre paysage, autre poème mais même douceur, flânerie, rêverie. Imaginons-nous gambader au milieu des herbes hautes, des œillets de poètes et des fougères …. écoutons la nature, le vent dans les feuilles, les stridulations des sauterelles, le chant des oiseaux …. Il reste l’odeur de l’herbe fraîche ….
Certes, nous sommes encore en hiver, mais que ça fait du bien de s’éloigner un peu de la ville, de rêver de printemps et de babillages amoureux ….